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DIDI

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3 avril 2006

CINEMA

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3 avril 2006

ACTUALITE

LE CPE :

Certains nous disent : «  J’aurai 26 ans à la fin de l’année ; ça ne me regarde pas. »

Je leur réponds : « Tu ne crois pas qu’ils préféreront prendre ton petit frère en CPE plutôt que toi en CDI ? » Il ne faut pas s’avouer vaincu ; le Smic jeunes avait été retiré après le mobilisation des étudiants.

Soit disant le CPE est en sorte une réponse aux révoltes des jeunes de banlieux, mais ce contrat qu’en disent-ils ? «  Les patrons nous rejettent. Moi je suis habitué, on doit montrer qu’on est plus motivés, plus intéressés que les autres, si on veut trouver un boulot. Moi je choisi de travailler au lieu de traîner avec mes potes dans la cité. Mais le CPE, c’est n’importe quoi ! Un patron peut te virer du jour au lendemain. Un mec de cité qui a envie de travailler et qui se fait dégager, il aura la rage, la haine ! Un CPE, c’est rien la galère continue. Moi, je dis non direct, je ne signe pas.

Certains étudiants sont pour le CPE. Une étudiante en deuxième année d’IUT informatique : « Le contrat permet aux jeunes de rentrer plus facilement dans la vie professionnelle. Exemple dans la filière de l’informatique, il faut huit ans pour décrocher un CDI, selon les statistiques. Le CPE serait donc une chance. En effet, si l’on a rien à se reprocher, il n’y a aucune raison que l’on soit licencié sans raison. De plus, nous restons tout de même protégé par le code du travail ! »

Le CPE est critiqué mais sous différente forme il existe dans d’autres pays, pas si loin de nous.

Alors qu’en France près de 23 % des jeunes pointent à l’ANPE, en Grande Bretagne, en Allemagne ou encore aux Etats-Unis, moins de 12% des moins de 26 ans sont au chômage.

Au Danemark, en Irlande et aux Pays Bas, ils sont à peine 8%. Il y a encore 10 ans, 1 jeune irlandais sur quatre recherchait pourtant désespérément du boulot. Le CPE aurait-il déjà fait ses preuves à l’étranger ? «  Le CPE n’existe nulle part ailleurs » et pour cause : dans les pays affichant les meilleurs taux de chômage, la flexibilité s’applique aux jeunes comme aux autres.

3 avril 2006

FINANCER SES ETUDES

Les bourses d’Etat :

·        La bourse de mérite :

Cette aide annuelle d’un montant de 6100 euros, peut être attribuée aux étudiants boursiers, ayant obtenu une mention très bien au bac et s’inscrivant à l’ENA ou l’Ecole national de la magistrature ou préparant un concours d’entrée dans une grande école.

·        La bourse sur critère universitaire :

Elle est réservée aux étudiants préparant un diplôme d’études approfondies ou un diplôme d’études supérieures spécialisées.

·        La bourse de voyage et la bourse Erasmus :

Ces deux aides sont destinées aux étudiants français qui poursuivent leurs études à l’étranger ou qui réalisent un stage d’un mois minimum. La bourse de voyage est une participation aux frais de transport, la bourse Erasmus finance, à la fois transport et logement.

·        Les prêts d’honneur :

Ces prêts, entre 800 et 2300 euros, peuvent être accordés aux étudiants de nationalité française inscrit dans un établissement supérieur, public ou privé. Ils ne peuvent être cumulés avec une bourse d’enseignement supérieur et sont attribués sur critères pédagogiques, sociaux et locaux. Ces prêts sont sans intérêt et remboursable dans les dix ans suivant l’entretient du diplôme pour lequel le prêt  a été demandé.

·        Les prêts dans une banque :

La plupart des banques proposent des prêts étudiants, à des taux plus avantageux. Mais attention ! Il faut bien réfléchir avant de contracter ces prêts et simuler son budget prévisionnel amputé des échéances de remboursement.

Alors ne vous arrêtez pas aux problèmes financiers !

3 avril 2006

FORMATIONS

BIEN CHOISIR SON TROISIEME CYCLE ?

Etablissez votre projet professionnel :

Dans quel secteur avez-vous envie de travailler ? Une question importante qu’il faut se poser, pour ne pas se tromper de trajectoire. En effet, le troisième cycle s’inscrit comme la dernière étape d’un parcours de formation construit. Il ne s’agit pas de tout gâcher en s’inscrivant à une formation qui ne correspond pas aux ambitions de départ.

Choisissez un créneau qui offre des débouchés :

Il faut absolument se demander si le créneau choisi est porteur. Un secteur qui a recruter hier, ne recrutera pas forcément demain. Pour cela, il faut étudier le marché du travail, les perspectives d’évolution du secteur.

Vérifiez la qualité des débouchés :

Si le créneau a le vent en poupe, les débouchés suivront. Mais il vaut mieux tout de même vérifier. En contactant par exemple d’anciens élèves, pour savoir s’ils se sont bien insérés dans la vie active. Demandez à voir l’annuaire des anciens.

Assurez vous de la notoriété de votre diplôme :

Une école privée prestigieuse sera appréciée sur le CV. Toute fois dans le cursus public, un diplôme a bonne réputation forme également de bons professionnels.

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